Et voici le tableau une fois peint !
Galyce errait dans les marais,
Les pieds lourds, le cœur serré.
Rêvant de ses yeux de velours, elle recherchait sa moitié…
Comme pour sa peine, exorciser,
Son miroir caressait son reflet…
…et les eaux dormantes le lui crachait !
Car les eaux amantes jalousaient sa beauté.
Devait – elle se fier à sa lanterne et à sa clarté ?
Devait – elle faire confiance aux feux– follet ?
Au risque de devenir la dame de compagnie des noyés…